Il faut penser que
le MF qui vous répond a dépassé (très légèrement) la cinquantaine, et éprouve quelques difficultés à regarder dans le détail (de près). Donc les photos un peu plus grande. Vous me direz, il n'a qu'à mettre ses lunettes. Jamais c'est un principe ou alors en toute clandestinité et je ne l'avouerai jamais même sous la torture.
Blague à part.
Le bons points,
repos, déferré, fourmilière ouverte.
Les points où le MF a raison, pourquoi mettre du talon à un cheval si ses aplombs sont faits comme ça. Je ferre quantité de chevaux qui n'ont pas de talons, n'en auront jamais, ce qui n'empêche pas d'avoir de bons talons, ce qui entraine un parage même léger même pour un cheval ayant peu de talon. premier avantage reculer la base d'appui.
Points de réserve.
Le fait de ferrer à froid, souvent considéré comme une meilleure méthode pour ferrer les chevaux et notamment les PS, mérite quand même une réserve. En effet, il y a toute une quantité de travail sur le fer fait à la forge et à l'enclume qui ne peut se faire qu'à chaud. Par contre rien n'ublige de porter le fer à chaud sur le pied. Donc si tout se fait à froid, je pense que la ferrure ne peut pas être une bonne ferrure. Et si les tournures ne sont pas bonne le brochage n'est pas bon, l'ajusture inexistante, au bout le plus souvent c’est une fourmilière due à un brochage trop à gras.
Il y a quand même
Certains détails que je ne peut pas passer sous silence. Le brochage non dégorgé, les finitions inexistantes, la seime non traitée, bref ferrage plus que moyen.